Arrivée au Pérou, Lima
7 et 8 avril .
Après 27 heures du bus (compagnie Ormeño, le top, semi-cama, bouffe à bord), nous arrivons enfin au Pérou. Avant d’arriver dans la capitale, le paysage est vraiment sympa. Le bus se faufile à flanc de falaise, et l’océan, sur notre droite, est toujours aussi beau. Mais Lima, encore une fois, se veut une capitale plutôt laide, assez grise dans son ensemble. Je ne suis pas très objectif pour juger du charme urbain.
En revanche, le contact avec la population, comme en Equateur (à l’exception des conducteurs de bus) est de suite agréable. Des gens calmes, souriants, disponibles pour nous informer, nous qui sommes tout le temps plus ou moins à l’arrache, ne sachant que rarement où aller. Mes potos, le cheptel péruvien semble prometteur. Ici nous croisons de jolies demoiselles plutôt minces, aux traits fins et au charme certain…Je m’arrêterai là sous peine de manger un pin de la part de Débo. Mais bon, faut bien être un peu descriptif !
Nous prenons un taxi (pas cher ici et généralement sympa, on discute, ça nous fait un cours de conversation) qui nous recommande, près de la place San Martin, un Hôtel pas cher. A titre d’info pour les futurs voyageurs, on trouve ici des chambres doubles pour 30 soles, l’équivalent de 7 ou 8 dollards. Je constate sur le panneau qu’il existe des prix encore moins chers, mais la nana de la réception m’explique en souriant que ce prix, ce n’est que si l’on occupe la chambre que quelques heures …
Le ménage des cafards effectué, cette petit chambre nous ira bien pour 2 nuits passées à Lima, le temps de se poser un peu et de gérer un vol intérieur pour Cuzco, notre but. En effet, si le Pérou ne figure pas dans nos priorités touristiques, il nous faut le traverser pour rejoindre la Bolivie, qui nous tente énormément. Les plus curieux iront voir une map monde et comprendont qu’il serait dommage de passer à côté du machu picchu, le cœur de la civilisation inca, et de ne pas en profiter ! On se balade donc un peu dans le quartier du centre de Lima, passons un peu de temps dans les cybers (mutation Mayotte oblige), découvrons de nouvelles saveurs culinaires. Les surprises, comme me l’a enseigné wonder Jojo, ne sont pas toujours bonnes. La cuisine française nous manque parfois cruellement, et le gras, les trucs frits et le riz, on commence à saturer. On rêve parfois de carottes, de haricots verts, qui l’eu cru ? Mais c’est marrant de manger du yuca, du camote, boire de la chicha (à base de maïs), du mate de coca et autres boissons typiques.
Un soir, pris de nostalgie de potes et de binouzes, on se réfugie dans un troquet. Rapidement, deux mecs nous rejoignent à la table, des Péruviens, avec qui nous discuterons 2 bonnes heures. Un cours de conversation enrichissant, entre tournées de bières, le ventilo et la zic de plus en plus fort. Pas évident, d’autant que l’un des gars parlait comme Manouche en soirée. Le berger allemand c’est déjà pas facile à décrypter, mais quand en plus il est croisé avec un péruvien… Par contre, coup du destin, l’un des deux invités surprise se trouve être un tour operator, et nous filera de bons plans (et son mail) pour la suite. Sympa.
Après 27 heures du bus (compagnie Ormeño, le top, semi-cama, bouffe à bord), nous arrivons enfin au Pérou. Avant d’arriver dans la capitale, le paysage est vraiment sympa. Le bus se faufile à flanc de falaise, et l’océan, sur notre droite, est toujours aussi beau. Mais Lima, encore une fois, se veut une capitale plutôt laide, assez grise dans son ensemble. Je ne suis pas très objectif pour juger du charme urbain.
En revanche, le contact avec la population, comme en Equateur (à l’exception des conducteurs de bus) est de suite agréable. Des gens calmes, souriants, disponibles pour nous informer, nous qui sommes tout le temps plus ou moins à l’arrache, ne sachant que rarement où aller. Mes potos, le cheptel péruvien semble prometteur. Ici nous croisons de jolies demoiselles plutôt minces, aux traits fins et au charme certain…Je m’arrêterai là sous peine de manger un pin de la part de Débo. Mais bon, faut bien être un peu descriptif !
Nous prenons un taxi (pas cher ici et généralement sympa, on discute, ça nous fait un cours de conversation) qui nous recommande, près de la place San Martin, un Hôtel pas cher. A titre d’info pour les futurs voyageurs, on trouve ici des chambres doubles pour 30 soles, l’équivalent de 7 ou 8 dollards. Je constate sur le panneau qu’il existe des prix encore moins chers, mais la nana de la réception m’explique en souriant que ce prix, ce n’est que si l’on occupe la chambre que quelques heures …
Le ménage des cafards effectué, cette petit chambre nous ira bien pour 2 nuits passées à Lima, le temps de se poser un peu et de gérer un vol intérieur pour Cuzco, notre but. En effet, si le Pérou ne figure pas dans nos priorités touristiques, il nous faut le traverser pour rejoindre la Bolivie, qui nous tente énormément. Les plus curieux iront voir une map monde et comprendont qu’il serait dommage de passer à côté du machu picchu, le cœur de la civilisation inca, et de ne pas en profiter ! On se balade donc un peu dans le quartier du centre de Lima, passons un peu de temps dans les cybers (mutation Mayotte oblige), découvrons de nouvelles saveurs culinaires. Les surprises, comme me l’a enseigné wonder Jojo, ne sont pas toujours bonnes. La cuisine française nous manque parfois cruellement, et le gras, les trucs frits et le riz, on commence à saturer. On rêve parfois de carottes, de haricots verts, qui l’eu cru ? Mais c’est marrant de manger du yuca, du camote, boire de la chicha (à base de maïs), du mate de coca et autres boissons typiques.
Un soir, pris de nostalgie de potes et de binouzes, on se réfugie dans un troquet. Rapidement, deux mecs nous rejoignent à la table, des Péruviens, avec qui nous discuterons 2 bonnes heures. Un cours de conversation enrichissant, entre tournées de bières, le ventilo et la zic de plus en plus fort. Pas évident, d’autant que l’un des gars parlait comme Manouche en soirée. Le berger allemand c’est déjà pas facile à décrypter, mais quand en plus il est croisé avec un péruvien… Par contre, coup du destin, l’un des deux invités surprise se trouve être un tour operator, et nous filera de bons plans (et son mail) pour la suite. Sympa.