En route pour Flores, Guatemala
Après une bonne journée de trajet en bateau et mini-bus tape-cul, nous arrivons au Guatemala. Contrairement à l’arrivée au Belize, ici, de suite, on s’est senti bien. Peu de bitume, surtout de larges chemins en terre ou en calcaire, laissant sur notre passage un nuage de poussière qui semble recouvrir peu à peu la végétation en bordure de route. A nouveau les pancartes sont en espagnol, pour mon plus grand plaisir. Nous sommes encore une fois dépaysés, et c’est bon.
Les premiers contacts avec la population sont vraiment sympas. On négocie une chambre, pas mal d’ailleurs dans une petite auberge (Casablanca), située à l’entrée de Flores, sur les rives du lac Petén Itzá . Ici les prix sont bon marchés, ce qui va nous soulager après notre craquing au Belize. Jusqu’à la taxe de sortie du territoire ils se sont fait plaisir ces inculados…
Le 19 au matin, cette journée de repos commencera par un p’tit footing au bord du lac, pour mériter vers 10 h un desayuno tipico (œufs, oignons, tomate, fromage, banane cuite et haricots) ou autres pancakes. On vous laisse deviner qui a pris quoi. Le tout accompagné d’un délicieux licuado de banano con leche bien frais. Une journée qui commence bien. Repus, nous allons choper des billets de bus pour le lendemain.
Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Demain, réveil à 4h15 : Tikal, gigantesque vestige Maya, sera nôtre. Ensuite, on décide d’aller sur le net à « votre heure » afin de communiquer en live avec la famille et les amis, puis de faire des choix pour la suite de notre voyage. Le Guatemala nous plaît et on n’a pas envie de zapper des endroits qui nous tentent, comme le volcan Pacaya ou encore le lac Atitlán, plus au sud. On trouve un vol pas trop cher de Guatemala Ciudad à San José de Costa Rica. Super ! Cela nous évitera de « perdre » 3 ou 4 jours de trajet en bus pour traverser les 3 ou 4 pays qui nous séparent de notre prochaine étape, que l’on partagera avec nos potos : Manouche, Nico et Antoine. Merci encore British Airways pour notre petite cagnotte de départ, qui nous déculpabilise et s’avère bien pratique. Le vol nous revient à grosso merdo 150 euros par personne. Mis bout à bout, le bus, avec 48 à 60 heures de trajet, que nous aurions fractionné, et les taxes de sortie et d’entrée aux différentes frontières (Honduras, Nicaragua…), je ne suis pas convaincu qu’on y perde beaucoup de tunes. Et quel gain de temps et d’ennui !
Une bonne partie de l’aprem sera passé au bord du lac, entre balade et cartes postales pour la famille, soigneusement écrites sur un ponton, au bord de l’eau. En bon labrador ressuscité que je suis, je ne résisterai pas longtemps avant de lancer avec Débo un concours de Big Shit Jump, le saut de la grosse merde, dont le principe est de finir par un plat. Les jeux Nathan, les jeux intelligents…
Les premiers contacts avec la population sont vraiment sympas. On négocie une chambre, pas mal d’ailleurs dans une petite auberge (Casablanca), située à l’entrée de Flores, sur les rives du lac Petén Itzá . Ici les prix sont bon marchés, ce qui va nous soulager après notre craquing au Belize. Jusqu’à la taxe de sortie du territoire ils se sont fait plaisir ces inculados…
Le 19 au matin, cette journée de repos commencera par un p’tit footing au bord du lac, pour mériter vers 10 h un desayuno tipico (œufs, oignons, tomate, fromage, banane cuite et haricots) ou autres pancakes. On vous laisse deviner qui a pris quoi. Le tout accompagné d’un délicieux licuado de banano con leche bien frais. Une journée qui commence bien. Repus, nous allons choper des billets de bus pour le lendemain.
Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. Demain, réveil à 4h15 : Tikal, gigantesque vestige Maya, sera nôtre. Ensuite, on décide d’aller sur le net à « votre heure » afin de communiquer en live avec la famille et les amis, puis de faire des choix pour la suite de notre voyage. Le Guatemala nous plaît et on n’a pas envie de zapper des endroits qui nous tentent, comme le volcan Pacaya ou encore le lac Atitlán, plus au sud. On trouve un vol pas trop cher de Guatemala Ciudad à San José de Costa Rica. Super ! Cela nous évitera de « perdre » 3 ou 4 jours de trajet en bus pour traverser les 3 ou 4 pays qui nous séparent de notre prochaine étape, que l’on partagera avec nos potos : Manouche, Nico et Antoine. Merci encore British Airways pour notre petite cagnotte de départ, qui nous déculpabilise et s’avère bien pratique. Le vol nous revient à grosso merdo 150 euros par personne. Mis bout à bout, le bus, avec 48 à 60 heures de trajet, que nous aurions fractionné, et les taxes de sortie et d’entrée aux différentes frontières (Honduras, Nicaragua…), je ne suis pas convaincu qu’on y perde beaucoup de tunes. Et quel gain de temps et d’ennui !
Une bonne partie de l’aprem sera passé au bord du lac, entre balade et cartes postales pour la famille, soigneusement écrites sur un ponton, au bord de l’eau. En bon labrador ressuscité que je suis, je ne résisterai pas longtemps avant de lancer avec Débo un concours de Big Shit Jump, le saut de la grosse merde, dont le principe est de finir par un plat. Les jeux Nathan, les jeux intelligents…