Sud de Bali, presqu’île de Bukit
9 juin Bon anniversaire Papa Figere !
10 h du matin et on est déjà à l’eau… avec nos petites planches (je dis bien petites… une 6’4 très fine pour Will et une 6’0 bien large pour moi). Les vagues ne sont toujours pas au rendez vous ce qui ne nous facilite pas la tâche, en effet vu la taille de nos planches, pas évident de prendre des petites vagues ! On rame dans tous les sens du terme. On en vient même à se demander si on a fait le bon choix, si elles ne sont pas trop difficiles pour nous…
Une petite journée bien remplie, partagée entre surf et bronzette sur la plage ! Débordés, débordés, débordés ! Le soir, coup de fil au padre de Will. Bon anniversaire !
10 juin
On monte dans un taxi avec tout notre bazar (planches de surf et sacs à dos) et direction : la presqu’île de Bukit, au sud de Bali. Pour ce qui est de l’hébergement, petit choix stratégique, on a opté pour le Warung Indra, simple et pas cher, situe en plein milieu de la presqu’île. D’ici, on va pouvoir rayonner et partir à la découverte de ces fameux spots de surf qui nous font rêver.
A peine arrivés on loue un scooter, numéro un des véhicules à Bali. Le nôtre comporte un petit rack permettant de transporter nos petites planchounettes. Et c’est parti pour un tour de stress… et oui ici peu de pancartes et encore moins de code de la route. Des véhicules dans tous les sens, on est loin de la balade pépère. Il faut avoir les yeux d’un caméléon et de bons réflexes pour se lancer sur ces routes, n’importe quoi ou n’importe qui peut surgir à tout moment. Un petit aperçu de ce qu’on croise sur les routes à Bali : des vaches, des poules, des chiens mais aussi des scooters à contre sens, des voitures effectuant des dépassements en plein virage ou qui se rabattent brusquement à 5o cm du scoot ! Un mot pour décrire la conduite balinaise : choquante. On se demande comment ils font pour ne pas avoir plus d’accidents ! Un code de la route, ça a du bon finalement…
Quelle plage choisir dans ce secteur, plein de possibilités, de criques ; Premier arrêt « dreamland », avec une entrée au site réalisée par un riche mégalomane, des statues géantes au bord de la route indiquent l’accès cette plage. Nous arrivons, payons une taxe modique pour garer le scoot, et découvrons la splendeur de cette première crique. Mais nous ne sommes pas les seuls, plein de touristes mais aussi un groupe d’étudiants indonésiens qui viennent nous prendre en photo ! On doit poser avec eux, avec leurs profs, situation un peu gênante mais cocasse. C’est le monde l’envers ! hihihi
L’eau est magnifique, tous les tons de bleu sont représentés, du bleu glacial, du turquoise etc. La température de la flotte est proche du bain, mais un bain 'a remous. De grosses vagues creuses viennent s’éclater sur la plage inclinée, ce n’est pas la bonne heure pour y surfer. On chevauche alors de nouveau notre tonnerre mécanique et filons vers « padang », une plage réputée pour la dangerosité de ses vagues ; On descend des marches dans une étroite mais impressionnante faille rocheuse, et découvrons encore une superbe crique, avec son lot de rochers posés en bord de plage, encore un coup du créateur pour nous forcer 'a prendre quelques clichés… Mais en ce qui concerne les vagues, la houle est toujours faible et les vagues mini. Mais j’ai trop envie de surfer et pars rejoindre les quelques gaillards au large. Le corail est 'a un mètre voire cinquante cm sous la planche, et je comprends qu’il soit dangereux de prendre ici de grosses vagues ; ça craint rien aujourd’hui !
Après cette petite session, on retourne se poser dans notre petite chambre. Ce soir, je me sens pas au top en fait. Voilà 2 jours que j’ai la grosse tourista, mais je suis fiévreux. Je prends un gramme de paracétamol et me couche vers 8 h, décalqué, à côté de Débo qui se mate un petit divx. La nuit a été horrible : frissons, puis trempé de sueur, re-frissons. Je prends ma température vers une heure du matin, j’ai 39… Reprise de paracétamol et j’essaie de dormir en espérant que ça aille mieux demain.
11 juin
Je me réveille dans le pâté, mais n’ai pas mal au crâne ce matin. Bon, on n’est pas venus là pour enculer des mulots, du coup petit dej et hop, sur le scoot, avec nos deux planches, en direction d’ «Uluwatu». Puisqu’il y a peu de houle ces jours-ci, autant aller au spot où les vagues sont susceptibles d’être les plus grosses. Il s’agit d’un spot de renommée mondiale ; il faut dire que lorsque les conditions sont bonnes, il y a sur ce spot 7 breaks, dans un cadre idyllique ; Des falaises, de la nature, une eau limpide aux couleurs hallucinantes (vous verrez plus tard les photos). Pour éviter de se déchiqueter sur les coraux, il faut surfer plutôt marée haute, ce que nous faisons. Débo, pour son premier jour à Uluwatu, sera impressionnée par la mise l’eau assez périlleuse et surtout par la série de vagues qu’elle se mange sur la tronche dès les premières minutes. Quant moi, je file sur la gauche, vers les pics, et passe plus de temps regarder quelques vrais bêtes surfer ces vagues qu'a en prendre moi-même. Entre les coups où je me dégonfle, les coups où je suis bien placé mais 3 gars sont déjà debout avant moi, et les innombrables fois où je me vautre… Je commence 'a flipper, j’ai peur d’avoir une planche bien trop dure pour moi. Mais l’endroit est beau, je suis content d’^etre ici, bien qu’un peu faiblard, vaseux. C’est pas la grande foforme.
Après cette session, nous filons un peu plus loin, sur la falaise, pour visiter le temple d’Uluwatu, réputé pour la vue et le coucher de soleil. On nous loue 'a l’entrée un sarong pour couvrir nos jambes, et nous voilà partis pour une balade vraiment sympa, sous l’œil malicieux des macaques qui ne cherchent qu’ à bouffer quelque chose où bien nous chourrer nos affaires. (où encore à s’adonner d’autres activités que vous découvrirez dans le montage).
Vers 18h30, dans le secteur de Padang, se joue un Kécak, un spectacle traditionnel mêlant chant, danse et théâtre pour chasser les mauvais esprits. Ce fut un bon moment, surprenant, avec aussi pas mal de clins d’oeil humoristiques de la part des acteurs prenant un peu le public à partie. Bien entendu j’y ai eu droit, sous le regard moqueur de Débo…
12 juin
Journée assez similaire, passée 'a Uluwatu. Les vagues ne sont pas tops, petites, difficiles 'a prendre avec de petites planches. Débo, rassurée, m’accompagne cette fois-ci et on tape la causette avec un autre Français, lui aussi en voyage. Il me propose d’essayer sa planche, avec laquelle je m’amuse beaucoup plus qu'avec la mienne. Je suis un peu dégoûté, mais faut savoir réagir, la planche que j’ai choisie est vraiment trop difficile. Ce soir j’irai la revendre 'a Kuta, et on ne gardera que la 6’0 de Débo, courte mais large et assez épaisse, bien plus facile et plus agréable.
Après la douche, nous partons donc by night en scoot vers Kuta, 'a la recherche d’un acheteur pour ma planche. J’apprends au fil des discussions qu’il s’agit d’une planche brésilienne, une bonne planche mais très radicale, semi-professionnelle, loin d’être polyvalente…Me serais-je fait eu pour être poli ? je crois bien que oui. J’ai bien peiné 'a en obtenir un prix convenable, et l’ai vendue bien à perte, après seulement 3 jours d’utilisation ; J’ai un peu de mal avaler la pilule, mais la science est une suite d’erreurs rectifiées…Je prends cette expérience avec philosophie (si si !) et me dis que l’avantage c’est que désormais j’en connais plus, et surtout toutes les autres planches me paraissent faciles ! En revanche, mes épaules et trapèzes sont en feu !
13 juin
Entêtés que nous sommes, on repart pour Uluwatu. Cette fois-ci, je loue une planche plus facile, une 6’10 assez épaisse et prendrai plus de plaisir sur l’eau que la veille. Cool ! Débo prendra aussi quelques vagues, en essayant d’éviter les cadors qui laissent peu de chances aux novices…Puis, pour changer un peu, nous finirons la journée par un peu de farniente sur la plage de Padang, que nous avons renommée « banban beach » tant il y a de spécimen de la race des « kissla pètent »… Puis repas gastronomique dans la chambre : pâtes asiatiques à l’eau chaude et en désert une sucette. On a trouvé un paquet de 25 chupa chups pour moins d’un euro, c’est hallucinant ! Mais toujours pas de bonbons haribo, les tagadas nous manquent. On frôle la déprime.
14 juin : bon anniversaire ma petite Débo !!!
Nous décidons de repasser une journée 'a Kuta pour filer le lendemain en bateau aux îles Gili, proches de l’ile de Lombok. Aujourd’hui, la houle est de retour ! yes papa ! Débo, le matin, assistera à une cérémonie mortuaire (il s’agit d’une crémation, sur la plage). Le cadavre est brûlé 42 jours après la mort, et la cérémonie est haute en couleurs, en chants, etc, rien 'a voir avec nos enterrements sinistres. Quant moi, pas de perte de temps, j’honore la houle en faisant pas moins de trois sessions de surf dans la journée, avec la planche de Débo. Je suis vraiment content de cette journée. Bien que les vagues ferment à Kuta, et de manière bien violente, je constate que les efforts des jours précédents n’ont pas été vains. Je parviens à partir directement sur le côté, à droite comme gauche, ce qui me posait pas mal de problèmes il y a quelques mois. COOL !
Le soir, petit resto en amoureux pour l’anniversaire de Débo, puis balade digestive dans les magasins, comme promis. J’aurais mieux fait de fermer ma *%§£µ…. hihihi
PS Débo : merci à tous pour vos messages d’anniversaire ainsi que vos cadeaux ! ça m’a beaucoup touchée.
10 h du matin et on est déjà à l’eau… avec nos petites planches (je dis bien petites… une 6’4 très fine pour Will et une 6’0 bien large pour moi). Les vagues ne sont toujours pas au rendez vous ce qui ne nous facilite pas la tâche, en effet vu la taille de nos planches, pas évident de prendre des petites vagues ! On rame dans tous les sens du terme. On en vient même à se demander si on a fait le bon choix, si elles ne sont pas trop difficiles pour nous…
Une petite journée bien remplie, partagée entre surf et bronzette sur la plage ! Débordés, débordés, débordés ! Le soir, coup de fil au padre de Will. Bon anniversaire !
10 juin
On monte dans un taxi avec tout notre bazar (planches de surf et sacs à dos) et direction : la presqu’île de Bukit, au sud de Bali. Pour ce qui est de l’hébergement, petit choix stratégique, on a opté pour le Warung Indra, simple et pas cher, situe en plein milieu de la presqu’île. D’ici, on va pouvoir rayonner et partir à la découverte de ces fameux spots de surf qui nous font rêver.
A peine arrivés on loue un scooter, numéro un des véhicules à Bali. Le nôtre comporte un petit rack permettant de transporter nos petites planchounettes. Et c’est parti pour un tour de stress… et oui ici peu de pancartes et encore moins de code de la route. Des véhicules dans tous les sens, on est loin de la balade pépère. Il faut avoir les yeux d’un caméléon et de bons réflexes pour se lancer sur ces routes, n’importe quoi ou n’importe qui peut surgir à tout moment. Un petit aperçu de ce qu’on croise sur les routes à Bali : des vaches, des poules, des chiens mais aussi des scooters à contre sens, des voitures effectuant des dépassements en plein virage ou qui se rabattent brusquement à 5o cm du scoot ! Un mot pour décrire la conduite balinaise : choquante. On se demande comment ils font pour ne pas avoir plus d’accidents ! Un code de la route, ça a du bon finalement…
Quelle plage choisir dans ce secteur, plein de possibilités, de criques ; Premier arrêt « dreamland », avec une entrée au site réalisée par un riche mégalomane, des statues géantes au bord de la route indiquent l’accès cette plage. Nous arrivons, payons une taxe modique pour garer le scoot, et découvrons la splendeur de cette première crique. Mais nous ne sommes pas les seuls, plein de touristes mais aussi un groupe d’étudiants indonésiens qui viennent nous prendre en photo ! On doit poser avec eux, avec leurs profs, situation un peu gênante mais cocasse. C’est le monde l’envers ! hihihi
L’eau est magnifique, tous les tons de bleu sont représentés, du bleu glacial, du turquoise etc. La température de la flotte est proche du bain, mais un bain 'a remous. De grosses vagues creuses viennent s’éclater sur la plage inclinée, ce n’est pas la bonne heure pour y surfer. On chevauche alors de nouveau notre tonnerre mécanique et filons vers « padang », une plage réputée pour la dangerosité de ses vagues ; On descend des marches dans une étroite mais impressionnante faille rocheuse, et découvrons encore une superbe crique, avec son lot de rochers posés en bord de plage, encore un coup du créateur pour nous forcer 'a prendre quelques clichés… Mais en ce qui concerne les vagues, la houle est toujours faible et les vagues mini. Mais j’ai trop envie de surfer et pars rejoindre les quelques gaillards au large. Le corail est 'a un mètre voire cinquante cm sous la planche, et je comprends qu’il soit dangereux de prendre ici de grosses vagues ; ça craint rien aujourd’hui !
Après cette petite session, on retourne se poser dans notre petite chambre. Ce soir, je me sens pas au top en fait. Voilà 2 jours que j’ai la grosse tourista, mais je suis fiévreux. Je prends un gramme de paracétamol et me couche vers 8 h, décalqué, à côté de Débo qui se mate un petit divx. La nuit a été horrible : frissons, puis trempé de sueur, re-frissons. Je prends ma température vers une heure du matin, j’ai 39… Reprise de paracétamol et j’essaie de dormir en espérant que ça aille mieux demain.
11 juin
Je me réveille dans le pâté, mais n’ai pas mal au crâne ce matin. Bon, on n’est pas venus là pour enculer des mulots, du coup petit dej et hop, sur le scoot, avec nos deux planches, en direction d’ «Uluwatu». Puisqu’il y a peu de houle ces jours-ci, autant aller au spot où les vagues sont susceptibles d’être les plus grosses. Il s’agit d’un spot de renommée mondiale ; il faut dire que lorsque les conditions sont bonnes, il y a sur ce spot 7 breaks, dans un cadre idyllique ; Des falaises, de la nature, une eau limpide aux couleurs hallucinantes (vous verrez plus tard les photos). Pour éviter de se déchiqueter sur les coraux, il faut surfer plutôt marée haute, ce que nous faisons. Débo, pour son premier jour à Uluwatu, sera impressionnée par la mise l’eau assez périlleuse et surtout par la série de vagues qu’elle se mange sur la tronche dès les premières minutes. Quant moi, je file sur la gauche, vers les pics, et passe plus de temps regarder quelques vrais bêtes surfer ces vagues qu'a en prendre moi-même. Entre les coups où je me dégonfle, les coups où je suis bien placé mais 3 gars sont déjà debout avant moi, et les innombrables fois où je me vautre… Je commence 'a flipper, j’ai peur d’avoir une planche bien trop dure pour moi. Mais l’endroit est beau, je suis content d’^etre ici, bien qu’un peu faiblard, vaseux. C’est pas la grande foforme.
Après cette session, nous filons un peu plus loin, sur la falaise, pour visiter le temple d’Uluwatu, réputé pour la vue et le coucher de soleil. On nous loue 'a l’entrée un sarong pour couvrir nos jambes, et nous voilà partis pour une balade vraiment sympa, sous l’œil malicieux des macaques qui ne cherchent qu’ à bouffer quelque chose où bien nous chourrer nos affaires. (où encore à s’adonner d’autres activités que vous découvrirez dans le montage).
Vers 18h30, dans le secteur de Padang, se joue un Kécak, un spectacle traditionnel mêlant chant, danse et théâtre pour chasser les mauvais esprits. Ce fut un bon moment, surprenant, avec aussi pas mal de clins d’oeil humoristiques de la part des acteurs prenant un peu le public à partie. Bien entendu j’y ai eu droit, sous le regard moqueur de Débo…
12 juin
Journée assez similaire, passée 'a Uluwatu. Les vagues ne sont pas tops, petites, difficiles 'a prendre avec de petites planches. Débo, rassurée, m’accompagne cette fois-ci et on tape la causette avec un autre Français, lui aussi en voyage. Il me propose d’essayer sa planche, avec laquelle je m’amuse beaucoup plus qu'avec la mienne. Je suis un peu dégoûté, mais faut savoir réagir, la planche que j’ai choisie est vraiment trop difficile. Ce soir j’irai la revendre 'a Kuta, et on ne gardera que la 6’0 de Débo, courte mais large et assez épaisse, bien plus facile et plus agréable.
Après la douche, nous partons donc by night en scoot vers Kuta, 'a la recherche d’un acheteur pour ma planche. J’apprends au fil des discussions qu’il s’agit d’une planche brésilienne, une bonne planche mais très radicale, semi-professionnelle, loin d’être polyvalente…Me serais-je fait eu pour être poli ? je crois bien que oui. J’ai bien peiné 'a en obtenir un prix convenable, et l’ai vendue bien à perte, après seulement 3 jours d’utilisation ; J’ai un peu de mal avaler la pilule, mais la science est une suite d’erreurs rectifiées…Je prends cette expérience avec philosophie (si si !) et me dis que l’avantage c’est que désormais j’en connais plus, et surtout toutes les autres planches me paraissent faciles ! En revanche, mes épaules et trapèzes sont en feu !
13 juin
Entêtés que nous sommes, on repart pour Uluwatu. Cette fois-ci, je loue une planche plus facile, une 6’10 assez épaisse et prendrai plus de plaisir sur l’eau que la veille. Cool ! Débo prendra aussi quelques vagues, en essayant d’éviter les cadors qui laissent peu de chances aux novices…Puis, pour changer un peu, nous finirons la journée par un peu de farniente sur la plage de Padang, que nous avons renommée « banban beach » tant il y a de spécimen de la race des « kissla pètent »… Puis repas gastronomique dans la chambre : pâtes asiatiques à l’eau chaude et en désert une sucette. On a trouvé un paquet de 25 chupa chups pour moins d’un euro, c’est hallucinant ! Mais toujours pas de bonbons haribo, les tagadas nous manquent. On frôle la déprime.
14 juin : bon anniversaire ma petite Débo !!!
Nous décidons de repasser une journée 'a Kuta pour filer le lendemain en bateau aux îles Gili, proches de l’ile de Lombok. Aujourd’hui, la houle est de retour ! yes papa ! Débo, le matin, assistera à une cérémonie mortuaire (il s’agit d’une crémation, sur la plage). Le cadavre est brûlé 42 jours après la mort, et la cérémonie est haute en couleurs, en chants, etc, rien 'a voir avec nos enterrements sinistres. Quant moi, pas de perte de temps, j’honore la houle en faisant pas moins de trois sessions de surf dans la journée, avec la planche de Débo. Je suis vraiment content de cette journée. Bien que les vagues ferment à Kuta, et de manière bien violente, je constate que les efforts des jours précédents n’ont pas été vains. Je parviens à partir directement sur le côté, à droite comme gauche, ce qui me posait pas mal de problèmes il y a quelques mois. COOL !
Le soir, petit resto en amoureux pour l’anniversaire de Débo, puis balade digestive dans les magasins, comme promis. J’aurais mieux fait de fermer ma *%§£µ…. hihihi
PS Débo : merci à tous pour vos messages d’anniversaire ainsi que vos cadeaux ! ça m’a beaucoup touchée.