Gerupuk
21 juin
Une petite journée qui commencera tranquillement par une grasse matinée, au calme, loin des bruits de poulailler, de travaux en tous genres, de musique ou bien encore de voisins sans gêne. Cool ! Après un petit déjeuner copieux, nous décidons d’aller gérer notre départ du lendemain (nous retournerons sur Bali mais du côté d’Ubud cette fois-ci, dans les terres). Dix minutes plus tard, (et oui, on commence à être vraiment efficaces !) nous essayerons de trouver un coin tranquille sur la plage située juste en face notre hôtel afin de nous détendre et de bouquiner un peu au soleil. J’ai bien dit essayerons ! Nous sommes dérangés toutes les 5 minutes par des vendeuses de bracelets et de sarongs ou bien encore par des jeunes désireux de parler anglais avec nous. Ce qui n’est pas un problème en soit mais qui devient très vite dérangeant quand cela se passe toutes les 5 minutes ou bien encore lorsque le jeune curieux se transforme en un groupe de 1O enfants, parlant, nous dévisageant comme des bêtes de foire et s’invitent quasiment sur nos paréos. Ces sollicitations intempestives sont parfois bien pesantes, d’autant plus que les vendeurs sont de vrais « insistators », capables de revenir 15 fois à la charge !
Une heure plus tard ou plutôt devrais-je dire dix pages plus tard, nous abandonnons l’idée de tranquillité sur cette plage et rentrons vers notre petit hôtel. 15h, on monte sur notre fidèle deux roues en direction de la plage de Gerupuk et plus précisément ses spots de surf, lesquels sont accessibles seulement par bateau. Nous embarquons donc sur un des nombreux petits bateaux de pêcheurs qui n’attendent que les surfeurs… Les vagues sont impressionnantes : hautes et charnues. En revanche, elles ne sont pas trop creuses et, ici, pas de problème sous la surface. Le corail est loin, pas de risque lors des chutes. Mais ces bonnes conditions ont forcément un revers : on atteint le nombre impressionnant de 34 surfeurs à l’eau, sur le même pic ! Du coup, pas facile de prendre une bonne vague, les vrais spécialistes étant toujours mieux placés, debout les premiers, laissant au final peu de chances aux autres qui se mangent le bouillon et la rame à contre-courant. Encore une bonne séance de muscu dans un cadre idyllique…
Cette tranche de vie aux Gilis Islands et Lombok fut vraiment sympa, loin du monde, de l'agitation touristique de quelques coins de Bali. Demain, nous repartons pour presque deux semaines que nous passerons sur Bali, d'abord quelques jours dans les terres, vers Ubud, puis on retournera sur la cote pour une ultime page de surf.
Une petite journée qui commencera tranquillement par une grasse matinée, au calme, loin des bruits de poulailler, de travaux en tous genres, de musique ou bien encore de voisins sans gêne. Cool ! Après un petit déjeuner copieux, nous décidons d’aller gérer notre départ du lendemain (nous retournerons sur Bali mais du côté d’Ubud cette fois-ci, dans les terres). Dix minutes plus tard, (et oui, on commence à être vraiment efficaces !) nous essayerons de trouver un coin tranquille sur la plage située juste en face notre hôtel afin de nous détendre et de bouquiner un peu au soleil. J’ai bien dit essayerons ! Nous sommes dérangés toutes les 5 minutes par des vendeuses de bracelets et de sarongs ou bien encore par des jeunes désireux de parler anglais avec nous. Ce qui n’est pas un problème en soit mais qui devient très vite dérangeant quand cela se passe toutes les 5 minutes ou bien encore lorsque le jeune curieux se transforme en un groupe de 1O enfants, parlant, nous dévisageant comme des bêtes de foire et s’invitent quasiment sur nos paréos. Ces sollicitations intempestives sont parfois bien pesantes, d’autant plus que les vendeurs sont de vrais « insistators », capables de revenir 15 fois à la charge !
Une heure plus tard ou plutôt devrais-je dire dix pages plus tard, nous abandonnons l’idée de tranquillité sur cette plage et rentrons vers notre petit hôtel. 15h, on monte sur notre fidèle deux roues en direction de la plage de Gerupuk et plus précisément ses spots de surf, lesquels sont accessibles seulement par bateau. Nous embarquons donc sur un des nombreux petits bateaux de pêcheurs qui n’attendent que les surfeurs… Les vagues sont impressionnantes : hautes et charnues. En revanche, elles ne sont pas trop creuses et, ici, pas de problème sous la surface. Le corail est loin, pas de risque lors des chutes. Mais ces bonnes conditions ont forcément un revers : on atteint le nombre impressionnant de 34 surfeurs à l’eau, sur le même pic ! Du coup, pas facile de prendre une bonne vague, les vrais spécialistes étant toujours mieux placés, debout les premiers, laissant au final peu de chances aux autres qui se mangent le bouillon et la rame à contre-courant. Encore une bonne séance de muscu dans un cadre idyllique…
Cette tranche de vie aux Gilis Islands et Lombok fut vraiment sympa, loin du monde, de l'agitation touristique de quelques coins de Bali. Demain, nous repartons pour presque deux semaines que nous passerons sur Bali, d'abord quelques jours dans les terres, vers Ubud, puis on retournera sur la cote pour une ultime page de surf.