Pichilemu
Du 11 au 15 mai, Pichilemu
Nous voilà repartis en bus pour un petit trajet cette fois-ci, 3h ! De la rigolade ! Au premier abord, la ville de Pichilemu nous fait penser à une ville fantôme, les rues sont désertes et tous les magasins sont fermés… ça s’annonce bien, on se motive pour une petite marche à pieds avec nos gros sacs sur le dos. L’appel de l’océan est le plus fort !
Les vagues sont là et ça sent bon l’air iodé. On se croirait presqu’à Quiberon… Pichilemu doit être vraiment sympa en été, les plages sont sympas et bordées de petites cabañas, d’écoles de surf et de restaurants aux façades babas cool. On s’est trouvé une sorte de mobile home face à la mer avec tout le confort (cuisine, tv, salle de bain avec eau chaude, une chambre et chauffage) et pas chére étant donné que nous sommes hors saison.
On a arrosé cette trouvaille avec un vin Chilien ( que je boirai en bonne angevine que je suis avec beaucoup de plaisir…) et un bon petit plat fait maison par mon p’tit cuisto préféré . On prend plaisir à se remettre à cuisiner ! C’est quand même bien un peu de confort. Cela vient vraiment au bon moment après ces 3 mois intensifs un peu de repos n’est pas négligeable…
On se met à l’eau dès le premier jour, armés de nos combi 4-3 et de p’tits chaussons. Et oui ! Il ne fait pas bien chaud ici 13 degrés dehors et 11 dans l’eau ! Les vagues ne sont pas top mais ça fait du bien de retrouver des petites sensations de glisse… je dis bien petites car je ne reste pas longtemps sur la planche ! Le plan d’eau est complètement haché, des petites vagues dans tous les sens. Will est un peu déçu, il y a pourtant eu des jours avec des houles impressionnantes dans le coin. On sera même encore plus dégoutés d’apprendre qu’on a loupé à quelques jours près, une compétition pro internationale à la Punta de lobos (à 6 km d’ici).
Le 6 mai, pour la finale, les vagues ont atteint leur record : 8 à 9 mètres !!! On aurait vraiment aimé voir ça en live, mais on a pu regarder le reportage à la tv, c’était déjà top. Nous y sommes allés un matin, les vagues faisaient 3m, une petite nana surfait, seule dans le froid. Pas de shop d’ouvert, on a un prétexte pour ne pas y aller…
Le soleil et les vagues n’étant pas au rendez vous ces derniers jours, on en profitera donc pour se reposer, dans notre petit « chez nous » confortable. Bons petits repas, balade sous la bruine, petit footing, grasses matinées, glandage devant la télé. On recharge nos batteries pour attaquer du bon pied la seconde partie du périple, de l’autre côté du globe. ça approche...
Nous voilà repartis en bus pour un petit trajet cette fois-ci, 3h ! De la rigolade ! Au premier abord, la ville de Pichilemu nous fait penser à une ville fantôme, les rues sont désertes et tous les magasins sont fermés… ça s’annonce bien, on se motive pour une petite marche à pieds avec nos gros sacs sur le dos. L’appel de l’océan est le plus fort !
Les vagues sont là et ça sent bon l’air iodé. On se croirait presqu’à Quiberon… Pichilemu doit être vraiment sympa en été, les plages sont sympas et bordées de petites cabañas, d’écoles de surf et de restaurants aux façades babas cool. On s’est trouvé une sorte de mobile home face à la mer avec tout le confort (cuisine, tv, salle de bain avec eau chaude, une chambre et chauffage) et pas chére étant donné que nous sommes hors saison.
On a arrosé cette trouvaille avec un vin Chilien ( que je boirai en bonne angevine que je suis avec beaucoup de plaisir…) et un bon petit plat fait maison par mon p’tit cuisto préféré . On prend plaisir à se remettre à cuisiner ! C’est quand même bien un peu de confort. Cela vient vraiment au bon moment après ces 3 mois intensifs un peu de repos n’est pas négligeable…
On se met à l’eau dès le premier jour, armés de nos combi 4-3 et de p’tits chaussons. Et oui ! Il ne fait pas bien chaud ici 13 degrés dehors et 11 dans l’eau ! Les vagues ne sont pas top mais ça fait du bien de retrouver des petites sensations de glisse… je dis bien petites car je ne reste pas longtemps sur la planche ! Le plan d’eau est complètement haché, des petites vagues dans tous les sens. Will est un peu déçu, il y a pourtant eu des jours avec des houles impressionnantes dans le coin. On sera même encore plus dégoutés d’apprendre qu’on a loupé à quelques jours près, une compétition pro internationale à la Punta de lobos (à 6 km d’ici).
Le 6 mai, pour la finale, les vagues ont atteint leur record : 8 à 9 mètres !!! On aurait vraiment aimé voir ça en live, mais on a pu regarder le reportage à la tv, c’était déjà top. Nous y sommes allés un matin, les vagues faisaient 3m, une petite nana surfait, seule dans le froid. Pas de shop d’ouvert, on a un prétexte pour ne pas y aller…
Le soleil et les vagues n’étant pas au rendez vous ces derniers jours, on en profitera donc pour se reposer, dans notre petit « chez nous » confortable. Bons petits repas, balade sous la bruine, petit footing, grasses matinées, glandage devant la télé. On recharge nos batteries pour attaquer du bon pied la seconde partie du périple, de l’autre côté du globe. ça approche...