Arrivée à Lombok
19 juin : Arrivée à Lombok
Ce matin nous quittons notre petite île Gili trawagan pour une autre… Lombok (aussi grande que Bali). Cette dernière n’est pas éloignée et pourtant il nous faudra presque 5 heures pour arriver à notre destination. Le passage d’une île à une autre fût rapide mais le trajet en bus, lui, fût une fois encore assez épique… Le transfert devait être direct mais ici le mot direct comme dans beaucoup d’autres pays, dailleurs, ne veut pas dire qu’il n’y aura pas d’arrêt ! Mais bon, on prend notre mal en patience et on admire les paysages magnifiques qui défilent sous nos yeux. Ils sont différents, on sent que l’on rentre dans les terres, la végétation se fait plus dense et plus verte, les premières rizières apparaissent, la côte, elle, reste toujours aussi belle avec son mélange de turquoise et de bleu profond.
Nous avons opté pour Kuta Lombok, au sud de l’île. C’est une zone réputée pour le surf. Nous avons choisi d’éliminer de notre itinéraire Senggiggi, beaucoup plus touristique et donc bruyante. A notre arrivée à Kuta lombok c’est comme d’hab, on se fait sauter dessus par tous les vendeurs du coin qui ont tous de bonnes affaires pour nous. Néanmoins, ce petit village n’a rien à voir avec le Kuta de Bali. Ici, peu de touristes et encore moins de magasins, juste quelques petites boutiques appartenant aux locaux. Le soir on est loin des rues animées de Bali (il n’y en a que deux !), enfin du calme. On se trouve une petite chambre rudimentaire mais pas chère (75ooo IDR soit 5,5 euros), on loue un petit scoot (2oooo IDR la demi-journée) et on file faire un petit repérage des environs car demain on espère bien pouvoir surfer.
La côte est ponctuée de plages toutes aussi belles les unes que les autres et elles sont presque désertes, les terres nous semblent plus sauvages, plus typiques que tout ce que nous avons pu voir à Bali jusqu’ici et ça nous plait. Nous irons jeter un petit coup d’œil au spot de surf de Gerupuk, histoire d’en savoir un peu plus car ce dernier nécessite de prendre une petite embarcation pour se rendre jusqu’au spot. Puis notre mission de la journée remplie, nous irons nous reposer sur une plage quasi déserte, je tiens à souligner la performance de mon p’tit Will qui est resté couché plus de 15 min hihihi. C’est pas évident pour lui en ce moment avec la mutation qui doit tomber d’un jour à l’autre et la tonne de paperasses qu’il doit gérer à distance avec l’aide précieuse de sa petite maman.
On rentrera donc à la chambre pour une petite douche rapide (en effet sur le sable, le vent et la chaleur nous ont transformés en petit poissons panés) et ensuite direction le net… Le verdict tant attendu est tombé : ce sera Mamoudzou, la capitale de Mayotte. Mon petit Will sera professeur d’EPS au collège de Kaweni 2. Rectification par rapport aux dernières infos données la famille. Ce collège n’est pas a confondre avec le collège de Kaweni. Kaweni 2 est un nouveau collège, mais on vient d’apprendre qu’il n’est pas encore terminé ! Ça promet encore une rentrée épique. Mais désormais on y voit plus clair, tout devient concret. On va pouvoir vraiment commencer les nombreuses démarches pour notre future vie la bas.
Ce matin nous quittons notre petite île Gili trawagan pour une autre… Lombok (aussi grande que Bali). Cette dernière n’est pas éloignée et pourtant il nous faudra presque 5 heures pour arriver à notre destination. Le passage d’une île à une autre fût rapide mais le trajet en bus, lui, fût une fois encore assez épique… Le transfert devait être direct mais ici le mot direct comme dans beaucoup d’autres pays, dailleurs, ne veut pas dire qu’il n’y aura pas d’arrêt ! Mais bon, on prend notre mal en patience et on admire les paysages magnifiques qui défilent sous nos yeux. Ils sont différents, on sent que l’on rentre dans les terres, la végétation se fait plus dense et plus verte, les premières rizières apparaissent, la côte, elle, reste toujours aussi belle avec son mélange de turquoise et de bleu profond.
Nous avons opté pour Kuta Lombok, au sud de l’île. C’est une zone réputée pour le surf. Nous avons choisi d’éliminer de notre itinéraire Senggiggi, beaucoup plus touristique et donc bruyante. A notre arrivée à Kuta lombok c’est comme d’hab, on se fait sauter dessus par tous les vendeurs du coin qui ont tous de bonnes affaires pour nous. Néanmoins, ce petit village n’a rien à voir avec le Kuta de Bali. Ici, peu de touristes et encore moins de magasins, juste quelques petites boutiques appartenant aux locaux. Le soir on est loin des rues animées de Bali (il n’y en a que deux !), enfin du calme. On se trouve une petite chambre rudimentaire mais pas chère (75ooo IDR soit 5,5 euros), on loue un petit scoot (2oooo IDR la demi-journée) et on file faire un petit repérage des environs car demain on espère bien pouvoir surfer.
La côte est ponctuée de plages toutes aussi belles les unes que les autres et elles sont presque désertes, les terres nous semblent plus sauvages, plus typiques que tout ce que nous avons pu voir à Bali jusqu’ici et ça nous plait. Nous irons jeter un petit coup d’œil au spot de surf de Gerupuk, histoire d’en savoir un peu plus car ce dernier nécessite de prendre une petite embarcation pour se rendre jusqu’au spot. Puis notre mission de la journée remplie, nous irons nous reposer sur une plage quasi déserte, je tiens à souligner la performance de mon p’tit Will qui est resté couché plus de 15 min hihihi. C’est pas évident pour lui en ce moment avec la mutation qui doit tomber d’un jour à l’autre et la tonne de paperasses qu’il doit gérer à distance avec l’aide précieuse de sa petite maman.
On rentrera donc à la chambre pour une petite douche rapide (en effet sur le sable, le vent et la chaleur nous ont transformés en petit poissons panés) et ensuite direction le net… Le verdict tant attendu est tombé : ce sera Mamoudzou, la capitale de Mayotte. Mon petit Will sera professeur d’EPS au collège de Kaweni 2. Rectification par rapport aux dernières infos données la famille. Ce collège n’est pas a confondre avec le collège de Kaweni. Kaweni 2 est un nouveau collège, mais on vient d’apprendre qu’il n’est pas encore terminé ! Ça promet encore une rentrée épique. Mais désormais on y voit plus clair, tout devient concret. On va pouvoir vraiment commencer les nombreuses démarches pour notre future vie la bas.