Quelques jours à Brisbane, puis retour à Sydney
1 et 2 juin : Débo
De retour sous le ciel pluvieux de Brisbane… Le cœur n’y est pas trop, on a l’impression de passer complètement à côté de l’Australie dans notre voyage… la pluie y est pour beaucoup, il commence à faire vraiment froid et les dernières nuits dans les dortoirs nous ont épuisés ! Moi qui croyais qu’on dormait dans ces lieux là hihihi, non grosse erreur « dortoir » n’est pas de la même famille que le mot « dormir » mais plutôt « couloir… de gare», ça va et vient, ça sent rarement la rose et on y croise des individus de tous les genres et, important à savoir, ceux qui sont allongés sont souvent en train de cuver… J’arrête de râler, j’exagère un tout petit peu mais je ne suis vraiment pas loin de la vérité.
Bref, on est tombés sur une grosse période de pluie, des inondations, et du coup pas évident d’organiser grand-chose. On se motive tout de même et décidons de rester un jour de plus pour aller au lone pine park, à 11 km de Brisbane. C’est un mélange entre un zoo et une réserve. On ne conçoit pas de partir de l’Australie sans avoir vu des kangourous et des koalas ! Mais n’ayant pas le temps de louer un van pour découvrir l’arrière pays (sous la flotte), l’alternative de cette réserve apparemment de grande qualité nous séduit.
Le manque de surf et de soleil commence à se faire sentir alors si en plus on ne voit pas un semblant de nature ça sent le pétage de câble… La promenade de 3 ou 4 heures s’est transformée en 6 ou 7 heures et oui, il faut compter 35 minutes de bus pour s’y rendre mais avant cela il faut trouver le bon bus, et commencer un véritable jeu de piste suivant les indications variables des gens, puis attendre 45 min car il n’y en a pas souvent. Le retour : 1h et demie de bus (pour 10 bornes)… trafic oblige ! Vive les grandes villes ! Résultat des courses 3,2,1 ( tiercé dans l’ordre papa ! hihihi) soit 3 heures de transport, 2 heures dans le parc et 1 journée de prise pour faire tout ça…
Mais on a beau avoir passé presque autant de temps dans les transports que dans le parc, nous ne regrettons pas cette sortie. Là bas, les kangourous vivent dans un immense parc ouvert au public. Les visiteurs sont libres d’y entrer ou non… vous imaginez bien ce que l’on a fait…
Moment bien sympathique avec ces petites bêbêtes ! Enfin petites mais musclées ! Des dizaines et des dizaines de skippy, sautant, se boxant et se prélassant sur la pelouse. Pas un poil farouche, ils sont habitués à la présence de l’homme et ça se voit. Ils s’approchent tout près de nous, histoire de voir s’y on n’a rien à leur donner à manger… Mais l’instant reste incroyable, ils sont miiiiiiignooooons et si impressionnants à la fois ! Pas envie de se prendre un coup de pattes ou plutôt un coup de griffes car ses petits animaux sont dotés de muscles mais également d’une sorte d’ergot bien pointu au bout de leurs pattes postérieures et de bonnes griffes à la place des gants de boxes…
La suite de notre visite m’a permis de voir un animal que je voulais voir en vrai depuis longtemps, une adorable petite boule de poils (non je ne parle pas de Will), le koala… Ces petits animaux ressemblent à de vraies peluches vivantes. En les regardant on a du mal à les imaginer avec une once d’agressivité ; tout simplement adorables.
Puis on s’amuse avec les cacatoès (on en a aussi vus à Sydney, en plein centre, comme des pigeons !), sympathisons avec un wombat, un genre de bestiole, entre le castor géant et le capibara de la pampa. Vous pourrez l’admirer se gratter le cul sur la video… Plus loin, après avoir maté la marche fière des émeux, on découvre une sorte de volatile géant, avec des poils, arborant fièrement des couleurs rouges et turquoises, sous un casque de corne, grosse crête osseuse sur la tête. Vraiment étrange, et en voie de disparition. Seuls 1500 individus demeurent sur notre pauvre planète…
3 juin :
Nous retournons à Sydney, avec pour objectif d’aller surfer quelques jours dans les environs ; Après un petit vol intérieur, notre poisse météorologique nous poursuit : il flotte et fait 12 degrés. Forcément assez déçus, nous décidons d’écourter notre séjour Australien, pour profiter mieux de la suite. Nous filons changer pour pas trop cher nos dates de billets d’avion.
Une dernière soirée autour de l’opéra House, où un festival artistique illumine les monuments de manière originale. Quelques clichés sympas en témoigneront dans notre album !
Fin de la page Australe, avec un petit goût d’amertume, et de pluie, dans la bouche ! Nous y retournerons plus tard (et cette fois-ci en été), la vie est encore longue. Des grandes vacances là-bas, pour découvrir davantage ce vaste territoire.
PS : sur ces 12 jours australiens, nous avons tout de même eu la chance de vivre des moments forts. Vous avez vu le kayak et le surf avec les dauphins, voici maintenant d’autres rencontres, pendant les éclaircies plus ou moins généreuses. ENJOY !
De retour sous le ciel pluvieux de Brisbane… Le cœur n’y est pas trop, on a l’impression de passer complètement à côté de l’Australie dans notre voyage… la pluie y est pour beaucoup, il commence à faire vraiment froid et les dernières nuits dans les dortoirs nous ont épuisés ! Moi qui croyais qu’on dormait dans ces lieux là hihihi, non grosse erreur « dortoir » n’est pas de la même famille que le mot « dormir » mais plutôt « couloir… de gare», ça va et vient, ça sent rarement la rose et on y croise des individus de tous les genres et, important à savoir, ceux qui sont allongés sont souvent en train de cuver… J’arrête de râler, j’exagère un tout petit peu mais je ne suis vraiment pas loin de la vérité.
Bref, on est tombés sur une grosse période de pluie, des inondations, et du coup pas évident d’organiser grand-chose. On se motive tout de même et décidons de rester un jour de plus pour aller au lone pine park, à 11 km de Brisbane. C’est un mélange entre un zoo et une réserve. On ne conçoit pas de partir de l’Australie sans avoir vu des kangourous et des koalas ! Mais n’ayant pas le temps de louer un van pour découvrir l’arrière pays (sous la flotte), l’alternative de cette réserve apparemment de grande qualité nous séduit.
Le manque de surf et de soleil commence à se faire sentir alors si en plus on ne voit pas un semblant de nature ça sent le pétage de câble… La promenade de 3 ou 4 heures s’est transformée en 6 ou 7 heures et oui, il faut compter 35 minutes de bus pour s’y rendre mais avant cela il faut trouver le bon bus, et commencer un véritable jeu de piste suivant les indications variables des gens, puis attendre 45 min car il n’y en a pas souvent. Le retour : 1h et demie de bus (pour 10 bornes)… trafic oblige ! Vive les grandes villes ! Résultat des courses 3,2,1 ( tiercé dans l’ordre papa ! hihihi) soit 3 heures de transport, 2 heures dans le parc et 1 journée de prise pour faire tout ça…
Mais on a beau avoir passé presque autant de temps dans les transports que dans le parc, nous ne regrettons pas cette sortie. Là bas, les kangourous vivent dans un immense parc ouvert au public. Les visiteurs sont libres d’y entrer ou non… vous imaginez bien ce que l’on a fait…
Moment bien sympathique avec ces petites bêbêtes ! Enfin petites mais musclées ! Des dizaines et des dizaines de skippy, sautant, se boxant et se prélassant sur la pelouse. Pas un poil farouche, ils sont habitués à la présence de l’homme et ça se voit. Ils s’approchent tout près de nous, histoire de voir s’y on n’a rien à leur donner à manger… Mais l’instant reste incroyable, ils sont miiiiiiignooooons et si impressionnants à la fois ! Pas envie de se prendre un coup de pattes ou plutôt un coup de griffes car ses petits animaux sont dotés de muscles mais également d’une sorte d’ergot bien pointu au bout de leurs pattes postérieures et de bonnes griffes à la place des gants de boxes…
La suite de notre visite m’a permis de voir un animal que je voulais voir en vrai depuis longtemps, une adorable petite boule de poils (non je ne parle pas de Will), le koala… Ces petits animaux ressemblent à de vraies peluches vivantes. En les regardant on a du mal à les imaginer avec une once d’agressivité ; tout simplement adorables.
Puis on s’amuse avec les cacatoès (on en a aussi vus à Sydney, en plein centre, comme des pigeons !), sympathisons avec un wombat, un genre de bestiole, entre le castor géant et le capibara de la pampa. Vous pourrez l’admirer se gratter le cul sur la video… Plus loin, après avoir maté la marche fière des émeux, on découvre une sorte de volatile géant, avec des poils, arborant fièrement des couleurs rouges et turquoises, sous un casque de corne, grosse crête osseuse sur la tête. Vraiment étrange, et en voie de disparition. Seuls 1500 individus demeurent sur notre pauvre planète…
3 juin :
Nous retournons à Sydney, avec pour objectif d’aller surfer quelques jours dans les environs ; Après un petit vol intérieur, notre poisse météorologique nous poursuit : il flotte et fait 12 degrés. Forcément assez déçus, nous décidons d’écourter notre séjour Australien, pour profiter mieux de la suite. Nous filons changer pour pas trop cher nos dates de billets d’avion.
Une dernière soirée autour de l’opéra House, où un festival artistique illumine les monuments de manière originale. Quelques clichés sympas en témoigneront dans notre album !
Fin de la page Australe, avec un petit goût d’amertume, et de pluie, dans la bouche ! Nous y retournerons plus tard (et cette fois-ci en été), la vie est encore longue. Des grandes vacances là-bas, pour découvrir davantage ce vaste territoire.
PS : sur ces 12 jours australiens, nous avons tout de même eu la chance de vivre des moments forts. Vous avez vu le kayak et le surf avec les dauphins, voici maintenant d’autres rencontres, pendant les éclaircies plus ou moins généreuses. ENJOY !